7 novembre 2013
J’ai grandi à la campagne, dans un village de 500 habitants. Pour jouer j’avais le choix entre plusieurs hectares de champs et une immense forêt. C’est à priori à ce stade de l’histoire que les citadins purs et durs me plaignent sincèrement.
Mais… j’adorais ça ! Je n’aime pas la ville. J’aime voir le ciel, marcher dans l’herbe. Pourtant c’est en ville que je vis. Les vaches n’ont pas besoin de graphiste. Les habitants des tours de 40 étages si.
Alors des fois j’essaye de laisser sa chance à la ville, de trouver de la poésie au béton. Et pour se faire, bien sûr, je photographie. Voici donc quelques morceaux de poésie arrachés à la grisaille, un jour, en ville.
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