7 novembre 2013
J’ai grandi à la campagne, dans un village de 500 habitants. Pour jouer j’avais le choix entre plusieurs hectares de champs et une immense forêt. C’est à priori à ce stade de l’histoire que les citadins purs et durs me plaignent sincèrement.
Mais… j’adorais ça ! Je n’aime pas la ville. J’aime voir le ciel, marcher dans l’herbe. Pourtant c’est en ville que je vis. Les vaches n’ont pas besoin de graphiste. Les habitants des tours de 40 étages si.
Alors des fois j’essaye de laisser sa chance à la ville, de trouver de la poésie au béton. Et pour se faire, bien sûr, je photographie. Voici donc quelques morceaux de poésie arrachés à la grisaille, un jour, en ville.
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Chouette série qui réhabilite la beauté urbaine et réjouit le citadin qui vit en moi.
Je suis, du coup, dans l’attente d’une série plus bucolico-champètre pour comparer le potentiel onirique de ces deux environnements.
Merci !
C’est si facile de rêvasser dans un champs de blé, en regardant les épis caressés par le vent :)
J’ai prévu un billet bucolico-champêtre bientôt pour revivre un peu d’été !
c’est pire que ça en fait
la paysanne que tu es voudrait donc vivre aux portes de paris, avec le métro : le RER c’est le mal absolu…
je vis les même contradictions à l’envers. Le citadin de naissance que je suis voudrait jouir des avantages de la nature aux portes de Paris. Toujours pas réussi à formaliser mon besoin…
La paysanne que je suis a profité plus de 10 ans des joies du RER ainsi que de celles de son evil twin, le train de banlieue, puisque ma campagne n’était qu’à 50 km de Paris. Mais il faut bien se rendre à l’évidence : je vieillis !
Si j’avais la possibilité d’avoir des clients au fond de ma forêt, je ne vivrais pas aux portes de Paris !
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